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Un reportage à la Maison Familiale de Chatte, consacré à la nouvelle allocation attribuée aux stagiaires.

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Gaspard Caplan, âgé de 15 ans et étudiant en bac pro agroéquipement à la Maison Familiale Rurale (MFR) de Mozas en Isère, a récemment participé au concours de Mister Junior France Agricole 2024. Les résultats de la compétition sont désormais connus, et Gaspard se hisse fièrement à la position de 1er dauphin de Mister Junior Agricole 2024. Le titre suprême a été remporté par Tiliau, un apprenti de 15 ans en seconde au Centre de Formation des Apprentis (CFA) de Sainte-Livrade, situé dans le Lot-et-Garonne.

En participant à ce concours, Gaspard souhaitait avant tout mettre en lumière la beauté et la diversité du métier agricole, souvent mal compris par le grand public. Sa démarche témoigne de son engagement envers la valorisation de cette profession. Malgré son jeune âge, Gaspard a réussi à se démarquer et à obtenir la prestigieuse position de 1er dauphin, une reconnaissance bien méritée de son implication.

Étudiant à la MFR de Mozas, Gaspard a exprimé sa satisfaction quant à sa place dans le concours, soulignant qu’il ne s’était imposé aucune pression particulière. Son objectif était de partager sa passion pour l’agriculture et de contribuer à une meilleure compréhension de ce secteur essentiel. Avec une attitude décontractée et authentique, il a su séduire le jury par son enthousiasme et son engagement envers son domaine d’études.

Gaspard Caplan nourrit une passion inébranlable pour l’agriculture depuis sa plus tendre enfance. Bien que ses parents ne proviennent pas du milieu agricole, Gaspard voue un amour particulier aux engins agricoles et s’adonne à la collection de vieux équipements paysans. Cette passion, ancrée profondément en lui depuis ses premières années, s’illustre notamment par le fait que, dès tout petit, lors de ses anniversaires, Gaspard exprimait le vœu de recevoir des tracteurs en cadeaux. Il se remémore avec enthousiasme des photos de lui ouvrant des présents de tracteurs alors qu’il n’avait que 3 ans.

Originaire de Monnetier-Mornex, Gaspard a effectué sa scolarité dans cette localité avant de fréquenter le collège de Reignier. C’est là, dans son école d’origine, qu’il a cultivé sa passion pour l’agriculture et développé son intérêt pour les engins agricoles. Malgré les origines non agricoles de sa famille, Gaspard a suivi son cœur et s’est engagé pleinement dans le monde fascinant de l’agriculture, devenant également collectionneur de précieux témoignages du passé rural.

Fort de cette expérience enrichissante, Gaspard nourrit désormais l’espoir de participer au Salon de l’Agriculture à Paris en 2024, une opportunité qui pourrait lui permettre de continuer à promouvoir son amour pour l’agriculture et d’inspirer d’autres jeunes à suivre cette voie passionnante.

Source : Dauphiné Libéré.

Le ministère du Travail a confirmé ce samedi le renouvellement de l’aide au recrutement d’apprentis pour l’année 2024, maintenant son montant à 6 000 euros pour la première année de contrat. Cette mesure, visant à encourager l’essor de l’apprentissage, s’inscrit dans la volonté affichée du gouvernement de voir un million d’apprentis chaque année.

Olivier Dussopt, ministre du Travail, a souligné que l’augmentation constante du nombre d’alternants renforce l’ambition gouvernementale d’atteindre le seuil d’un million d’apprentis annuels. La prime de 6 000 euros s’applique à l’embauche d’un apprenti de tout âge ou d’un salarié en contrat de professionnalisation de moins de 30 ans. Elle est accessible sans conditions pour les entreprises de moins de 250 salariés. Les entreprises de plus grande envergure peuvent également y prétendre, sous réserve de remplir certaines conditions, telles que l’atteinte d’un seuil de contrats d’alternance ou de contrats favorisant l’insertion professionnelle d’ici la fin de décembre 2025.

Les statistiques du ministère de l’Emploi montrent une progression significative du nombre d’apprentis en France. À la fin d’octobre 2023, le pays comptait 1 017 500 apprentis dans le secondaire et l’enseignement supérieur, enregistrant une augmentation de 6,2 % par rapport à la même période en 2022. Sur la même période, 780 200 contrats d’apprentissage avaient débuté, représentant une hausse de 2,8 % sur un an.

Cette croissance de l’apprentissage s’explique par la réforme de 2018, qui a libéralisé l’ouverture de centres de formation et élargi l’accès à l’apprentissage pour les 26-29 ans, ainsi que par les incitations financières à l’embauche. En décembre dernier, le Parlement a définitivement adopté un texte visant à encourager un « Erasmus de l’apprentissage » en facilitant la mobilité internationale des alternants.

Source : https://www.sudouest.fr/economie/social/apprentissage-l-aide-a-l-embauche-sera-reconduite-en-2024-17973107.phphttps://www.sudouest.fr/economie/social/apprentissage-l-aide-a-l-embauche-sera-reconduite-en-2024-17973107.php

Crédit photo : © Crédit photo : Archives illustration « Sud Ouest »

Compétitions sportives de renommée internationale, élections européennes… En 2024, ça bouge en France et en Europe ! Et les MFR ne sont pas en reste ! Car oui, vous le savez, nous ne faisons pas les choses à moitié… Nous n’allons pas nous contenter de suivre, nous allons impulser le mouvement.

L’année 2024 s’annonce pleine de dynamisme pour les Maisons Familiales Rurales (MFR) en France et à l’international. Des projets stimulants se dessinent à l’horizon, tant au niveau du Mouvement que de chaque Maison et Fédération. Une vision audacieuse se dévoile déjà dans notre vidéo, offrant un aperçu de ce qui nous attend.

👀 Découvrez notre vision pour 2024

Notre communauté MFR, englobant toutes les dimensions de notre Mouvement, se mobilise pour une année riche en actions et en initiatives. Dans notre vidéo exclusive, plongez dans l’univers passionnant qui se dessine. Des projets innovants, des partenariats stimulants et des actions solidaires se préparent à émerger. Nous vous invitons à jeter un œil attentif sur ce que réserve l’année à venir.

💬 Imaginez-vous bouger avec nous !

Chacun d’entre vous a un rôle crucial à jouer dans cette aventure collective. Qu’allez-vous imaginer pour vous joindre à cette effervescence ? Partagez vos idées, vos projets et vos ambitions avec la communauté MFR. Utilisez la plateforme dédiée sur https://my.mfr.fr/pages/voeux-2024 pour échanger, inspirer et collaborer. Ensemble, créons une année 2024 marquée par l’innovation, la solidarité et le progrès.

🌐 Des actions à l’échelle locale et internationale

Que vous soyez une Maison ou une Fédération, votre contribution compte. Partagez les actions que vous prévoyez de mener en 2024. Qu’il s’agisse de projets éducatifs novateurs, d’initiatives sociales ou de partenariats internationaux, chaque idée contribue à façonner le visage de notre Mouvement. Ensemble, construisons une année riche en réalisations et en partages d’expérience.

🟡 Une communauté unie pour un avenir prometteur

L’année 2024 s’annonce comme une opportunité de renforcer les liens au sein de notre communauté MFR. À travers nos actions, nos projets et nos échanges, nous façonnons un avenir prometteur pour l’éducation, la solidarité et l’innovation. Ensemble, nous sommes la force qui fera bouger les MFR en 2024 !

N’attendez plus, plongez dans cette aventure avec nous et partagez vos aspirations sur https://my.mfr.fr/pages/voeux-2024. L’année 2024 sera ce que nous en ferons collectivement ! 🚀

C’est une soirée exceptionnelle pour 18 étudiants de la Maison Familiale Rurale Le Village à Saint-André-le-Gaz. Après des mois de travail acharné, ces adolescents ont accueilli le jeudi 14 décembre soir 60 personnes en situation de précarité pour le tout premier réveillon solidaire organisé par leur établissement.

Cet événement marque le point culminant de plusieurs mois d’efforts au sein de la Maison Familiale Rurale Le Village de Saint-André-le-Gaz. Dix-huit étudiants de terminale se mobilisent ce jeudi 14 décembre pour mettre en place un réveillon solidaire destiné à 60 personnes bénéficiaires des Restos du Cœur, du Secours Populaire et du CCAS. Il s’agit d’une initiative inédite pour l’établissement.

L’initiative a pris naissance à la fin de l’année scolaire 2022/2023. « Un jour, un sans-abri est passé dans la rue alors que les jeunes étaient en train de partager un barbecue dans la MFR », raconte Guillaume Perez, adjoint à la direction. « Ils ont invité cet homme à leur table pour lui offrir un repas. C’est ainsi qu’a germé l’idée d’organiser un réveillon solidaire pour les personnes dans le besoin de la région. »

Plusieurs mois de préparation

Encadrés par leurs enseignants et une animatrice de la MFR, Estelle Monnet, ils ont pris en charge l’ensemble de l’organisation de ce repas, depuis l’approvisionnement jusqu’à la cuisine, pour finalement assurer le service ce soir-là dans le réfectoire, spécialement décoré pour l’occasion. « Le groupe chargé de l’organisation devait contacter les fournisseurs et négocier des réductions ou des dons », explique Anthony. « Nous avons surtout contacté les Restos du Cœur, le CCAS et le Secours Populaire pour leur présenter le projet et voir s’ils étaient intéressés. »

L’idée a tellement séduit que les étudiants ont dû sélectionner les participants. Les associations ont ainsi fixé un critère : « les personnes qui seraient seules à Noël, afin qu’elles puissent partager ce moment avec d’autres », précise Julie, chargée du service pendant le réveillon. « Il y a aussi une famille dont la mère est malade, donc cela leur permet de changer les idées des enfants en célébrant Noël avec d’autres personnes. » Au menu, entre autres, des mini-burgers et de la volaille avec des marrons.

60 bénéficiaires

Les étudiants ont également confectionné des petits cadeaux pour les 60 bénéficiaires de ce réveillon solidaire. « Nous le faisons ensemble, en tant que classe soudée, donc c’est génial », estime Lola. Pour Marius, leur engagement montre « qu’il faudrait apporter plus de soutien financier et humain aux personnes en situation de précarité ».

Le projet bénéficie du soutien de la Fondation de France, qui a versé un chèque d’environ 2000 euros à la MFR Le Village. « Il serait bon de continuer, car je pense qu’il y a toujours des besoins à Noël et même après Noël, donc ce serait une excellente idée », conclut Milla. L’équipe pédagogique est du même avis, et l’établissement espère déjà organiser une deuxième édition de ce réveillon solidaire l’année prochaine.

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Crédit photo : Les 18 élèves de la terminale "Canin et Félin" ont travaillé pendant plusieurs mois sur ce Réveillon solidaire. © Radio France - Noémie Philippot